•  Roumanie la Belle...La Doina...Le chant traditionnel roumain...
    Doina de Leagan...Doina une Berceuse...

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    Le chant traditionnel roumain – la doïna

    La doina (prononcée doïna), représentant le chant traditionnel roumain par excellence, est une chanson lyrique chantée par une seule personne. Parfois,  la doina est accompagnée des instruments. Le plus souvent, la doina est poétique et mélancolique, jouée sur une mélodie lente accompagnée d’un rythme rapide. L’auteur y transmet ses sentiments sur l’écoulement du temps, le comportement des personnes et les changements de la nature et joue le rôle de catharsis. Elle est si représentative de l’âme roumaine que c’en est devenu l’un des prénoms féminins les plus courants.

    Doina est une vieille chanson, ses origines remontent au début des Roumains, parait-il, elle est toujours très appréciée de nos jours et transmise au fil du temps oralement de génération en génération. En théorie, le mot doina avec ses deux composants, nostalgie et tristesse, est intraduisible dans d’autres langues. Les mots les plus proches sont: le mot anglais longing et l’allemand sehnsucht qui signifient nostalgie et pour le mot tristesse en anglais nous avons le mot dreariness ou grief, mais pas de mot exact.

    Je vous invite à découvrir une doina surnommée Deuil pour Bassarabie, qui fait référence au moment où la Roumanie a été obligée de céder ce territoire pour être occupée par l’Armée Rouge.

    Le plus souvent la doina est accompagnée par une flûte ou flûte de pan:

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    La danse traditionnelle roumaine la plus connue c’est la danse du cheval. Les danseurs sont nommés Căluşarii.

    L’origine de cette danse est pré-chrétienne. Le nom Căluşarii provient d’un rite de fertilité païen lié au culte du Soleil et le jouer, selon la tradition, apporte à l’assistance de la chance, de la santé et du bonheur. Répandue surtout dans les régions rurales de la Roumanie (au Sud et à l’Est), c’est une danse rituelle qui marque le passage du printemps à l’été.

    En 1935, elle a reçu une reconnaissance nationale : elle a été choisie pour accompagner le roi roumain Carol II lors de sa visite officielle au Royaume-Uni. Des danseurs roumains ont alors participé à un Festival International de Folklore. Le roi Georges V a beaucoup apprécié la prestation des danseurs.

    La doina et la danse du cheval se retrouvent sur la liste du patrimoine de l’UNESCO. L’UNESCO demande que ces rituels soient transmis, conservés et protégés.

    À l’occasion d’une visite de la part de Het College, Hollande, qui a eu lieu dans notre lycée la semaine passée, nous avons organisé un  moment traditionnel fait des chants et des danses. Voici nos élèves !

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  • Le Maraichinage ... Une ancienne coutume Vendéenne !

    Le Maraichinage   ...  Une ancienne coutume Vendéenne !
    Appelée maraichinage parce que propre aux habitants du marais de Monts, les maraichins, cette coutume plonge ses racines dans une antiquité lointaine bien antérieure au Christianisme.

    De multiples études anthropologiques ont été réalisées à son propos au XIXème siècle et au début du XXème. On  trouve de nombreuses références à ces travaux dans l'ouvrage devenu classique ,"Le Maraichinage", du Dr. Marcel Baudouin, cinq fois édité entre 1900 et 1932. et réimprimé plus récemment par Lafitte Reprints.
     

    Cette coutume spécifique à la région qui s'étend de Saint-Jean de Monts à Saint-hilaire de Riez, Soullans et Challans, peut être, par pure commodité, trivialement définie comme "l'essayage avant le mariage".
     

    Elle était pratiquée dès l'âge de seize ans par les garçons et les filles fortement encouragés en cela par leurs familles qui voyaient dans cette coutume ancestrale la meilleure assurance d'un mariage harmonieux. Elle pouvait résulter parfois pour la jeune fille en une grossesse "la grossesse d'essai", à laquelle personne ne trouvait rien à redire.
     

    Le maraichinage obéissait à un rituel très précis et se pratiquait même en public. Sa manifestation la plus connue était le baiser more columbino, c'est-dire à la façon des pigeons, a savoir avec l'introduction de la langue dans la bouche.  
      
    L'accessoire indispensable du maraichinage pour la jeune fille était un très large parapluie de couleur violette derrière lequel les amoureux se livraient à leurs caresses.Le caractère rituel de cet accessoire est patent, du fait qu'il était utilisé indépendamment de l'état du temps. D'ailleurs, le maraichinage ne se pratiquait qu'à la belle saison.

    Il se déroulait les jours de fêtes religieuses et le dimanche après les vêpres. Les jeunes filles se tenaient debout le long des rues du bourg leur parapluie à la main et les garçons passaient et repassaient devant elles du côté opposé, riant et plaisantant pour se faire valoir. Le coeur de chaque jeune fille battait très fort lorsqu'elle remarquait un garçon qui par sa bonne mine lui plaisait,  priant en elle-même qu'il vienne l'aborder et entamer le rituel.
     

    La scène est évoquée dans  "la Foire aux Femmes", roman de Gilbert Dupé publié en 1941chez Denoël . Un film en fut inspiré quelques années plus tard, dont le titre et le caractère réducteur soulevèrent la colère des Vendéens et surtout des Vendéennes. En effet, le maraichinage n'était en rien de la débauche.
    .

    Peu à peu, des couples se formaient, le garçon commençait l'approche en tirant le cotillon de la jeune fille, puis ensuite c'était la prise de main avec une pression du pouce de la fille sur l'index du jeune homme, premier signe de consentement, puis un peu plus tard un bras autour de l'épaule. Le jeune fille ne laissait le garçon prendre en main son parapluie que lorsqu'elle était séduite, sûre de son bon choix.
    Le rituel se poursuivait le plus souvent à l'auberge où les jeunes gens s'attablaient en couples devant un café, sans se préoccuper des anciens absorbés par leur jeu d'aluettes.

     


     Puis venait le moment des interminables baisers... Des chambres étaient même réservées pour plusieurs couples qui se livraient à leurs caresses parfois poussées très loin, sans se préoccuper des autres comme s'ils étaient chacun dans son propre univers, insensibles à tout l'entourage parfois taquin ou moqueur.

    Le maraichinage se poursuivait, le temps passant, sur les bords des routes et chemins, chaque couple dissimulé derrière le parapluie grand ouvert, insensible aux plaisanteries des passants. Le tout faisant partie en somme du rituel. Cela durait jusqu'à la nuit tombante, le garçon raccompagnant la jeune fille jusqu'à la porte de sa bourrine, cette maison de terre particulière au pays .

    La tenue vestimentaire : un mouchoir pour les jeunes filles servant à dissimuler
     son visagepar coquetterie  au début du rituel, un foulard fixé à la chemise par une fibule en forme de coeur dont les plus anciens exemplaires sont bien antérieurs à la révolution française*.

    Quant à la coiffe, elle était en quelque sorte sacrée pour la jeune fille qui tenait à la conserver intacte quoiqu'il arrive. Aussi disait-elle à son amant devenu très entreprenant: "fais ce que tu veux mais ne froisse pas ma coiffe". Enfin et surtout il y avait ce qu'on appelle en bas-Poitevinlamigaillière ou fourmaillière. Fente du jupon donnant accès à une bourse suspendue à un cordon mais aussi aux parties intimes de la jeune fille. "Mets donc ta main dans mamigaillière, tu y trouveras un béa p'tit merlaudéa" (mets ta main dans la fente de mon jupon tu y trouveras un beau petit merle) , fait-on dire à la jeune fille s'adressant à son galant.  L'expression est restée vivante jusqu'à aujourd'hui.

    Il convient de faire comprendre aux éventuels détracteurs des moeurs du marais de Monts, que le maraichinage terminé, les jeunes filles et les jeunes hommes formaient des couples fidèles irréprochables, qui à leur tour encourageraient leurs enfants à suivre leur exemple, dès leurs seize ans venus. 


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  •  (Lydia est Canadienne)

    Ancienne coutume....... (Canadienne ?)
    Dans le temps, en mai, on recevait une statue de la vierge dans une petite boite qui se promenait de maison en maison. Tout le monde était très fière de la recevoir chez soi.  C'était un honneur.

    >
    En souvenir de cette ancienne coutume, je vous envoie la Vierge Marie pour qu'elle vous vienne en aide si vous le souhaitez.

    Un partage de Lydia

    Un partage de Lydia

    Que vous y croyiez ou non, ce serait amical de faire suivre cette image
    afin que la Vierge Marie voyage de maison en maison, de foyer en foyer, de bureau en bureau, d'ordinateur en ordinateur...
     
        Elle finira bien par arriver chez quelqu'un qui aura besoin d'elle...
     
    > Notre Sainte Mère parcourt le monde entier en emportant nos soucis avec elle. 
     
    Je te l'envoie, ne la retiens pas.
    > Aide-la à continuer son chemin pour porter secours aux autres.
    Y a bien des gens qui ont besoin d'elle en ce moment.
    Bon Voyage, Ma Sainte Mère. 

    Un partage de Lydia

     

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  • Oeufs-de-paques-colores-orthodoxe.html 

    Dans la tradition chrétienne orthodoxe, les œufs de Pâques colorés sont aussi une pièce centrale de décoration. Ils sont également un symbole de l’arrivée du printemps. Dans cet article, vous allez voir des exemples de déco œufs de Pâques colorés de différents pays orthodoxe. La coloration des œufs est un rituel de grande importance dans ces pays. On s’y met plusieurs jours en avance, parents et enfants se réjouissent du concours – qui va colorer les plus beaux œufs.

     

     

    http://designmag.fr/deco/deco-de-paques/oeufs-de-paques-colores-orthodoxe.html


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