• Trouvé sur poesieenhabit.centerblog.net

    Pourquoi dit-on :

    "Ce ne sont pas les livres qui font les sages" ?

     

    En fait, il s'agit d'un proverbe allemand qui a des équivalents dans de nombreux pays.

    On a souvent critiqué le pédant qui, ayant beaucoup lu, a beaucoup retenu, et qui ennuie par sa propension à étaler sa connaissance.

    " L'âne chargé de livres se croit savant."

    Il faudrait nuancer en disant que ce n'est pas non plus l'absence de livres qui fait le sage, même si la tradition orale a ses mérites. La sagesse vient du contact avec autrui et le livre permet de converser avec les meilleurs esprits de tout temps et de tout lieu.

    Bien sûr, il y a lire et lire. La lecture de pur divertissement nous fait oublier la vie, et la grande littérature nous y ramène.

    "Lire, c'est vivre", disait Flaubert.

     

    source : http://poesieenhabit.centerblog.net/rub-58a-pourquoi-dit-on-.html


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  • Trouvé sur photo.neonmag.fr

    15 expressions françaises décortiquées

     

    Et roule ma poule !

    Vue de l’extérieur, la langue française semble parfois complexe à appréhender. Et pas seulement pour ses pièges orthographiques et ses incohérences grammaticales, mais aussi par nos expressions imagées, dont on perçoit le sens sans forcément en connaître les origines. On ne va pas en faire tout un fromage, et après tout chacun voit midi à sa porte, mais il peut être intéressant de connaître l’origine de ces expressions souvent bien loin de ce qu’on peut imaginer. Alors en voiture Simone, on vous explique tout.

     

    Avoir le béguin

    Direction la Belgique, à Liège, et plus précisément au couvent de Béguines, pour comprendre cette expression. Là-bas, les religieuses portaient une coiffe de toile fine. Or, “être coiffé de quelqu’un” signifiait à l’époque “être aveuglé par”. Les deux expressions ont fini par fusionner, et “avoir le béguin” a fini par signifier “être coiffé de”, donc “être amoureux”.

     

    Etre beurré comme un petit Lu

    Rien à voir avec le beurre, puisqu’il s’agit d’un jeu de mot sur le verbe « bourrer ». Dans les années 1920, quand le jeu de mot a été imaginé, le petit-beurre le plus connu était celui de la marque Lu. L’expression est restée inchangée depuis.

     

    De l'eau dans le gaz

    Il faut imaginer les gazinières de nos grands-mères pour comprendre cette expression. A l’époque, elles étaient alimentées au gaz de ville. Mais quand un peu d’eau s’introduit dedans, la flamme vacille et on entend alors le bruit de petites explosions… comme des avertissements à une plus grosse explosion qui arrive, ou comme ces petits tracas du quotidien qui tendent la situation. Depuis, quand il y a de l’eau dans le gaz, c’est que la situation est tendue et pourrait dégénérer.

     

    lire davantage : https://photo.neonmag.fr/15-expressions-francaises-decortiquees-36918#en-faire-tout-un-fromage-641908


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  • Trouvé sur

    Avoir une araignée au plafond

    C’est dans le quartier Bréda aux environs de Notre-Dame de Lorette à Paris que naît cette expression. Un lieu où les prostituées de l’époque rencontraient leurs clients et racontaient ensuite, en parlant des plus fous, qu’ils avaient « une araignée au plafond ». L’araignée se logeant généralement dans des lieux négligés, délabrés et le plafond représentant le haut de la boîte crânienne, on comprend vite la métaphore. 

     

    Un·e de perdu·e, dix de retrouvé·es

    Au XIIIe siècle, « dix » était en fait « deux » ! On comprend donc mieux pourquoi ce proverbe ne se réalise jamais après une rupture. Pourtant, même si nos ancêtres étaient moins optimistes, le message était le même : la perte est facile à réparer.

     

    À deux vitesses

    L’expression apparaît avec le courrier à deux vitesses : deux tarifs différents pouvaient être appliqués en fonction de l’importance du courrier. À la base neutre, l’expression est devenue négative avec le temps et les usages polémiques, notamment le livre « La France à deux vitesses » (1982) de Lionel Stoléru, pour aujourd’hui signifier le plus souvent une différence de traitement.

     

    Couper la poire en deux

    A l’époque, la poire était un fruit dégusté avant le fromage car elle permettait de mieux le savourer. Alors que le repas touche à sa fin, mets et vins délient les langues. C’est le moment des confidences et compromis, d’où l’expression « Nous en parlerons entre la poire et le fromage » qui signifie « quand le moment sera propice ». Ainsi, « couper la poire en deux » renvoie à un compromis équitable entre les deux parties.

     

    lire plus sur : https://photo.neonmag.fr/12-expressions-expliquees-37644#avoir-une-araignee-au-plafond-656022


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  • Voici quelques expressions populaires, dites  " PORTE BONHEUR " ...  Chacun les interprètera à sa convenance !!!

     

    source : http://yvonne92110.centerblog.net/rub-expressions-populaires-.html


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  • voir les explications en cliquant sur le lien suivant :

    https://gastronomierestauration.blogspot.com/2016/05/expression-de-bouche-tv5monde.html


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