• Mardi gras

    Mardi gras

    Mardi gras est une période festive, qui marque la fin de la « semaine des sept jours gras » (autrefois appelés « jours charnels »)1. Le Mardi gras est suivi par le Mercredi des cendres et le carême, où les chrétiens sont invités à « manger maigre » en s'abstenant de viande2.

    Elle se situe donc juste avant la période de jeûne, c'est-à-dire — selon l'expression ancienne — avant le « carême-entrant », ou le « carême-prenant ». Les « sept jours gras » se terminent en apothéose par le Mardi gras, et sont l'occasion d'un défoulement collectif. L'esprit de jeûne et d'abstinence qui s'annonce est momentanément mis entre parenthèses avec le carnaval3.

    Festivités

    Les festivités associées au carnaval précèdent, dans la tradition chrétienne, l'entrée dans le carême pendant lequel le chrétien mange « maigre », en s'abstenant notamment de viande ou de mets recherchés le jour du Mercredi des cendres, marquant l'entrée du carême. L'abstinence (ne pas manger de la viande) est alors observée tous les vendredis de l'année et avec une attention particulière les vendredis de carême.

    Le mot « carnaval » dérive du latin médiéval carne levare, signifiant « enlever, retirer la chair », c'est-à-dire concrètement supprimer sur la table durant toute la période du carême la viande ou, autrement dit, le « gras ».

    Mardi gras, populairement, est aussi le jour où :

    • On déguste les crêpes et les fameux beignets vosgiens de carnaval.
    • Les enfants se déguisent et/ou demandent aux voisins dans les villages des œufs, du sucre, de la farine, etc., pour confectionner des gâteaux ou des crêpes qui sont mangées en fin d'après-midi.

    C'est surtout le temps fort du carnaval là où il est fêté. À Dunkerque, par exemple, les dimanche, lundi et mardi gras sont baptisés « les trois joyeuses ». Durant ces trois jours, le carnaval de Dunkerque atteint son paroxysme. Toute la ville se costume et défile dans la rue.

    Mardi gras dans le monde

    Traditions anglo-saxonnes

     
    Le défilé du Mardi gras à la Nouvelle Orléans, en 2011.

    Dans les pays du Commonwealth, les traditions sont différentes mais apparentées au Mardi gras latin, sous le nom de Shrove Tuesday (Mardi de l'absolution, du verbe archaïque to shrive« absoudre »).

    Par endroits, cette fête traditionnelle est aussi appelée Pancake Tuesday7 . Plusieurs églises offrent des petits déjeuners ou dîners de pancakes, en sollicitant parfois des contributions caritatives. Les pancakes sont dégustées avec du sirop d'érable (au Canada et aux États-Unis), ou de la compote de fruits. Localement en Angleterre, la traditionnelle course au pancake7, oblige à parcourir une certaine distance en faisant tourner des pancakes à même la poêle tenue à la main, sans les laisser tomber.

    À la Nouvelle-Orléans, le carnaval est nommé Mardi gras (en français dans le texte), et reste une tradition très marquée. Les défilés sont accompagnés par les Marching Bands typiques de la musique de la région.

    Finlande

    Les célébrations du Mardi gras d'origine finlandaise se nomment Laskiainen. Dans certaines communautés, comme celle de Palo dans le Minnesota, elles sont souvent associées avec le Shrove Tuesday.

    Estonie

    Le Mardi gras estonien se nomme Vastlapäev.

    Tout comme leurs voisins finlandais, qui fêtent eux le Laskiainen, cette journée est associée à différentes activités que l'on pratique en général en famille ou entre amis. Il est ainsi traditionnel d'aller faire de la lugependant cette journée et, pour se réchauffer de manger une soupe de pois avec du jambon.

    On récupère d'ailleurs l'os du jambon. On y fait un trou au milieu et on le lie à une chaîne pour le faire tourner autour de soi et créer un bruit de sifflement.

    Russie[modifier | modifier le code]

    Le Mardi gras a pour équivalent russeMaslenitsa« la semaine des crêpes ». C'est une fête folklorique russe qui date de l'ère païenne. Elle est célébrée la semaine précédant le Grand Carême orthodoxe (sept semaines avant Pâques). Elle est donc le Carnaval orthodoxe.

    Suisse

    Dans le canton de Fribourg, une tradition méconnue perdure dans les villages de Villars-sous-Mont et Neirivue, chaque matin du Mardi gras : au rythme du tambour, les écoliers paradent de porte en porte, déguisés en soldats, chantent et récoltent des pièces de monnaie.

    On observe quelques différences dans le déroulement du rituel entre les deux villages, pourtant très proches l’un de l’autre : les garçons de Neirivue portent un képi et ne sont pas armés ; ceux de Villars-sous-Mont portent un bonnet et sont armés d’un fusil de bois.

    L’origine de la pratique est assez énigmatique : selon plusieurs habitants du village, elle pourrait remonter à l’époque des guerres napoléoniennes, vers 1800. Elle pourrait également trouver son origine dans des parades plus anciennes.

    De nos jours, les plus âgés se chargent chaque année d’apprendre le chant et les exercices aux plus petits. Leur motivation première est pécuniaire, puisque chaque enfant peut gagner jusqu’à 100 francs. Chacun a sa place : le chef, le tambour, le porte-drapeau et au moins un soldat. « Ils doivent être quatre au minimum. S’il n’y a que trois écoliers ou moins au village, le défilé ne peut avoir lieu », explique la maman d’un des petits soldats, organisatrice de l’événement en 2011. Le cas ne s’est que rarement produit. Et l’entrée dans la troupe est, à ce jour, réservée aux garçons : « Nous portons un fusil, pas une baguette de fée ! », précise un des petits participants8.

     


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    LA NAISSANCE DU CARNAVAL DE DUNKERQUE

    Les origines du carnaval dunkerquois remontent au début du XVIIe siècle. Le premier document officiel connu parlant de ces festivités est daté du 16 janvier 1676. Dunkerque est alors un port de pêche à la morue en Islande. Ces expéditions durent six mois et sont risquées. De nombreux hommes n'en reviennent jamais.

    Face à ce danger, les armateurs paient aux pêcheurs une partie de leur solde avant le départ. Une assurance pour les familles. Ils leur offraient également une fête (la « Foye »), l’occasion de se défouler avant d’affronter la mer.

    De la Foye naîtra la « Visschersbende » (bande des pêcheurs en flamand). Elle se déroulait à l'origine sur trois jours, entre le lundi gras et le mercredi des cendres, marquant le début du Carême. La tradition est restée, ce sont les 3 joyeuses.

    "Chacun apporte son entrain, son imagination à la folie ambiante et se sent garant de l'âme Dunkerquoise"

     

     

    ET AUJOURD'HUI ? QUE SONT DEVENUES LES 3 JOYEUSES?

    A l'origine, toutes les festivités se déroulaient dans une auberge. Petit à petit, vers la fin du siècle, les pêcheurs et leurs familles se déguisèrent et envahirent les rues de la ville.
    Aujourd’hui, la passion continue. Participer au carnaval constitue une fierté pour les Dunkerquois.

    Des dizaines de milliers de personnes assistent à la fête et participent à la folie qui s’empare de toute la ville. Les « bandes », qui se déroulent en général le dimanche après-midi, consistent en un immense défilé où chacun reprend les chants traditionnels.

    Chacun apporte son entrain, son imagination à la folie ambiante et se sent garant de l'âme dunkerquoise : c'est ainsi que le « masquelour » avance fièrement, la poitrine bombée, la tête droite, le parapluie brandi bien haut.

    source : http://www.tourisme-nordpasdecalais.fr/Arts-Culture/Patrimoine/Le-Carnaval-de-Dunkerque-une-tradition-ancree-dans-le-territoire

    Le carnaval de Dunkerque

    CARNAVAL DE DUNKERQUE 2018 

    Un spectacle unique en couleurs vous attend durant 3 jours dès ce dimanche 11 février 2018. Calendrier, histoire et durée du carnaval, chansons, musique et paroles, préparez-vous !

     

    Le jet de harengs

    Lors duquel le maire de Dunkerque et son conseiller municipal lancent des harengs fumés sur les carnavaleux, est l'un des événements du carnaval à ne pas manquer. Mais vous devrez également impérativement essayer de découvrir qui se cache derrière le Figueman. Cet intrigant personnage masqué porte un bâton au bout duquel pend une chaussette sale, un poisson ou une araignée. Vous aurez également peut-être l'occasion de rentrer, en donnant un mot de passe, dans les chapelles. Les habitants ouvrent également leur maison pour y boire une bière, manger du porridge, du hareng ou une soupe dans une ambiance musicale conviviale.

    Les chansons du carnaval de Dunkerque

    Le carnaval de Dunkerque, ponctué de ses bals joyeux, est la soupape d'un peuple© Sarah ALCALAY/SIPA

    Le carnaval de Dunkerque ne serait rien sans ses 56 chansons spécifiques qui célèbrent majoritairement le retour du printemps et de la fertilité, mais aussi les temps forts de l'histoire de la cité de Dunkerque. De "A Dunkerque" au "Final" en passant par "Marie Patate" ou "Les Commères d'la rue Saint Gilles" ou encore "A la Tienne Etienne", les Dunkerquois connaissent les paroles de ces chansons très osées mais toujours pleines de gaieté ! Les textes de ces chansons ont pour origine des chants militaires et des airs à la mode transformés, faisant parfois allusion aux misérables conditions de vie après la Libération. On retrouve très souvent, dans les chansons du carnaval, quelques bribes de dialecte dunkerquois. Les Dunkerquois terminent toujours avec l'Hymne à Jean Bart. Cette cantate rend hommage à celui qui a su défendre la ville des attaques étrangères, Jean Bart, appelé aussi "son Altesse Royale l'Amiral Prince de Joinville". Lorsqu'ils entonnent la Cantate à Jean Bart, les Dunkerquois ont pour coutume de se retrouver devant la statue du héros à genoux, les bras tendus vers le ciel. Les chansons du carnaval de Dunkerque sont toujours accompagnées par une musique très spécifique menée par le tambour-major, maître de cérémonie vêtu de son costume de soldat d'Empire, et par une soixantaine de musiciens. Le tambour-major est accompagné de la cantinière qui, avec son petit tonneau rempli de cognac ou de genièvre, donne à boire aux musiciens. Tambours, fifres et cuivres mènent la cadence dans les rues lors des défilés des musiciens dans chaque quartier de la ville de Dunkerque. 

     

    Carnaval de Dunkerque : les déguisements traditionnels

    Avec un clet'che à moitié dépareillé face à la mer... © Sarah ALCALAY/SIPA

    A l'origine en toile de jute, les costumes sont maintenant très colorés et burlesques. Les carnavaleux fabriquent le plus souvent leur costume traditionnel de carnavaleux, appelé le clet'che, qu'ils conservent pendant plusieurs années. Celui-ci doit être chaud et résistant aux chahuts, comme les chaussures qui doivent être renforcées. Tout est permis dans le respect de l'autre : les femmes se déguisent en hommes et les hommes en femmes avec des chapeaux à fleurs, des décolletés, des manteaux de fourrure, des mini-jupes... Ils portent des masques ou des maquillages multicolores, profitent de l'anonymat pour faire des blagues à leurs amis. Ces hommes et ces femmes se nomment les "Masques" ou les "Masquelours", et ceux-ci peuvent être jusqu'à 20 000 dans une bande. Les déguisements de clowns, d'écoliers, d'Écossais, et généralement tous les déguisements teintés d'humour et d'autodérision sont très répandus. Les peintures sur le visage remplacent largement les masques. Les parapluies multicolores à long manche, appelés "berguenaeres", sont un signe d'appartenance à une bande et permettent de se retrouver dans la foule. Plumeaux (ou plum'tche) et bâtons décorés sont aussi des accessoires très présents pendant le carnaval de Dunkerque. Pour des raisons de sécurité, les déguisements militaires et religieux sont prohibés.

     lire plus sur : http://www.linternaute.com/sortir/evenement/1353900-carnaval-de-dunkerque-les-trois-joyeuses-demarrent-ce-dimanche/

     

    LE CARNAVAL DE DUNKERQUE, EN VOILÀ UNE BONNE OCCASION DE MONTER DIN CH’NORD 

    Pendant deux mois et demi, en début d’année, les carnavaleux du Nord de la France se retrouvent pour faire la fête dans toute la ville de Dunkerque !

    Par ici, le carnaval est une grande famille, où la coutume veut que les hommes se déguisent en femme. L’origine du Carnaval remonte au début du XVIIIème siècle. A l’occasion du départ des marins pour la pêche en Islande, l’armateur offrait la « foye », une fête pour les pêcheurs. Aujourd’hui, le carnaval de Dunkerque est l’un des plus originaux de France !

    Des dizaines de milliers de personnes défilent en bandes dans les rues de Dunkerque. Le but est de se tenir chaud en étant le plus serré possible en chantonnant les airs traditionnels.

    Le samedi soir ou dimanche après-midi, les carnavaleux se retrouvent au bal, vêtus de leur plus belle robe et autres fanfreluches aux couleurs flashy !

    Chaque week-end, la ville est animée du matin au soir !

    Une chose est sûre, le carnaval de Dunkerque ne se raconte pas, il se vit au cœur des chahuts ou sur « eul’côté dla bande » !

    source : http://www.leffetmer.fr/carnaval-de-dunkerque/

     

     


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  • Le carnaval de Venise

    HISTORIQUE DU CARNAVAL DE VENISE

     

    L’origine du carnaval de Venise remonte au Moyen Âge. Cette tradition millénaire s’intitule en italien il Carnavale di Venezia. Durant 11 jours d’effervescence, la ville des amoureux est bondée de personnes costumées. Pendant les fêtes, la joie de la vie et l’harmonie des couleurs prédominent.

     

    Historique de la tradition du carnaval à Venise
     

    L’origine du carnaval de Venise remonte au Xe siècle. Les Vénitiens de l’époque profitaient au maximum des derniers jours précédant le carême pour se divertir et savourer les plaisirs et les joies de la vie. La première citation des festivités du carnaval date de l’année 1094 qui fut mentionnée dans une charte du Dodge Faliero. Cette fête remonte sûrement avant cette date. C’est en 1269 que le Sénat instaure le Mardi gras. La veille du carême est un jour de fête où l’on pouvait porter le masque.

    Grâce au traditionnel carnaval de Venise, le peuple pouvait s’adonner au faste glorieux des festivités pour compenser l’inaction politique. L’objectif de la cérémonie costumée consistait à montrer les séductions de la richesse et les caprices de la mode. Le carnaval de Venise permettait d’oublier les conflits entre les grandes familles grâce à des chasses aux taureaux et des cérémonies costumées.

     
     
    D’où vient la réputation du carnaval de Venise ?  

    La fête du carnaval à Venise représentait un facteur de paix sociale. Durant ces quelques jours de fête, les règles de préséance sont abolies puisque la fête populaire rassemblait nobles et personnes du peuple sous un même pied d’égalité. L’avantage avec le carnaval de Venise durant la renaissance est que le peuple appréciait les fêtes et les divertissements publics.

    Grâce à cet événement, on pouvait profiter d’une liberté d’expression unique à l’époque en plus de l’amusement et du plaisir omniprésent. Le succès de la fête est que son organisation était à la fois d’ordre politique et économique. Les habitants pouvaient critiquer et se moquer de tout le monde. La république aristocratique de Venise devenait démocrate.

     

    Carnaval de Venise de nos jours 

    Pour inaugurer le début des festivités du carnaval de Venise, la cérémonie d’ouverture est marquée par le vol de l’ange. Durant cet événement, environ 70 000 personnes ont pu apprécier une jeune femme déguisée glisse gracieusement du clocher de la basilique de la place Saint-Marc vers une estrade. Au cours de la fête touristique, de nombreuses activités sont organisées dans la ville : défilés, spectacles, concours de costumes… Les hôtels de luxe de la ville organisent des bals tous les soirs.

     

    source :  http://cabschau.centerblog.net/rub-paroles-.html


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  • Le 2 févrer aux US : jour de la marmotte

    Jour de la marmotte

    Le jour de la marmotte (Groundhog Day en anglais) est un événement célébré en Amérique du Nord le jour de la Chandeleur, soit le 2 février1.

    Selon la tradition, ce jour-là, on doit observer l'entrée du terrier d'une marmotte:

    - Si elle émerge et ne voit pas son ombre parce que le temps est nuageux,
      l'hiver finira bientôt. 

    - si elle voit son ombre parce que le temps est lumineux et clair,
      elle sera effrayée et se réfugiera de nouveau dans son trou, et l'hiver continuera pendant six semaines
      supplémentaires.

     

    Origine

     
    La marmotte (Marmota monax) est un rongeur de la famille des Sciuridae.

     

    Les traditions liées au réveil des animaux dits « dormeurs » à la Chandeleur sont d'origine européenne.
    Selon les pays et les latitudes, l'animal attaché à ce folklore change.
    Selon Paul Sébillot, c'est à l'ours que la majorité de ces traditions est attaché.


    - Dans les Pyrénées, en Bigorre, on disait qu'à la Chandeleur l'animal sortait de la grotte où il hibernait, inspectait le ciel, et si celui-ci était dégagé, retournait dans son gîte pour quarante jours

    - Dans le Limousin, il s'agit du loup,

    - En Lorraine de la loutre,

    - En Irlande du hérisson, etc.

     

    En prenant pied sur le continent américain par les émigrants, la tradition s'est attachée à l'animal hibernant le plus répandu, la marmotte.
    Une entrée du journal personnel de James Morris, commerçant du comté de Berks en Pennsylvanie, du 5 février 1841 mentionne d'ailleurs2 : « Mardi dernier le 2 était la Chandeleur, le jour où selon la tradition allemande la marmotte jette un coup d'œil hors de son terrier. Si elle voit son ombre, elle retourne se coucher pour six semaines de plus, mais si la journée est nuageuse elle demeure à l'extérieur car le reste de l'hiver sera doux ».

     

    Explication possible de la légende

    Dans les pays tempérés de l'hémisphère nord, le printemps débute à l'équinoxe soit le 20 ou le 21 mars selon l'année. Avant 1582, le calendrier julien s'était éloigné de cette date de telle sorte que l'équinoxe tombait le 16 mars, ce qui est exactement 6 semaines après le 2 février. Lors du passage au calendrier grégorien, pour corriger cette dérive, il y eut confusion dans l'esprit des gens sur l'arrivée du printemps : les uns croyant que le printemps restait le 16 mars et les seconds le 21. La marmotte, ou tout autre animal hibernant, devenant un arbitre3.

    lire plus surhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_de_la_marmotte

     


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