• L'épiphanie

     

    Trouvé sur http://313131.centerblog.net/rub-ephiphanie-.html

    Le terme "épiphanie" est issu du grec et signifie "apparition".

    Célébrée le 6 janvier, cette fête correspond à la

    présentation de Jésus ENFANT aux Rois Mages.

    Ce jour est aussi celui du premier miracle des noces de Cana et avant tout la date de baptême du Christ.

    Dès le Ve siècle, l'Eglise donna une importance considérable à cet événement.

     

    La galette des rois, servie à cette occasion, est une tradition typiquement française qui avait déjà cours au XIVe siècle.

    La galette était partagée en autant de portions que de convives, plus une. 

    Cette portion supplémentaire, appelée part du Bon DIEU ou part de la Vierge,

    Etait destinée au premier pauvre qui se présenterait.

     

    Pendant des siècles les chrétiens d'Orient célébrèrent la Nativité le jour de l 'Epiphanie. 
    Les Arméniens du Caucase le font encore aujourd'hui.

    Au Ier siècle il fut déjà décidé de donner primauté à la naissance du Christ plutôt qu'à l' Epiphanie.

     

    Une chanson populaire raconte comment les Rois mages sont venus d'Afrique. 
    Pour l' Evangile, ils arrivèrent de l'Orient. 

    Peut être viennent ils tout simplement du mystérieux pays d'où sont originaires 

    les Saintes Maries de la MERet qui porta longtemps le nom d' Egypte.

     

    Longtemps, le 6 janvier Epiphanie fût plus important que le jour de Noël.

     

     

    À l'origine,

    L'Épiphanie, fait partie du cycle de Noël et tire son fond et
    son sens des célébrations païennes de la Lumière.

    En effet, Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle :
    Celui-ci atteint son apogée au jour marquant le solstice d'hiver, le 22 décembre.


    Cette nuit du solstice — la plus longue de l'année —
    annonce  le rallongement des jours et — par extension —
    la renaissance de la Lumière censée être à l'origine de toutes choses.

    Puis la célébration se prolonge durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours et 12 nuits.

    Le nombre 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 Dieux Olympiens, 12 Tribus d'Israël, 12 Apôtres, etc.)

     

    Le cycle prend fin le 6 janvier.
    C'est à ce moment que les jours commencent à s'allonger de façon sensible,
    que la promesse de la nuit solsticiale est tenue.



    On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière.
    Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil.


    Il est à noter également que c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le calendrier alors en vigueur — le calendrier julien diffère du nôtre)
    qu'avait lieu sous la Rome antique la fête des 12 Dieux Épiphanes
    (autrement dit les 12 Olympiens).


    Le christianisme a repris tout ce fonds symbolique en assimilant la lumière au Christ, puisqu'il est annoncé comme étant « la parole qui éclaire le monde ».

     

    source : http://313131.centerblog.net/rub-ephiphanie-.html


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  • Fête de Noël - origine - histoire du jour de Noël

    La liturgie de Noël

    1. Origine de la liturgie du 25 décembre

    Le culte pré-chrétien du 25 décembre à Rome

    Dès le premier siècle avant J-C, on célébrait à Rome le culte de Mithra, d’origine persane, importé à Rome par les légionnaires romains. Mithra était la divinité perse de la lumière. On faisait une fête le 25 décembre, pour le solstice d’hiver, la naissance de Mithra le soleil invaincu (Dies natalis solis invicti). On le fêtait par le sacrifice d’un jeune taureau. En 274, l’empereur Aurélien déclare le culte de Mithra religion d’état et il fixe la célébration du solstice au 25 décembre.

     

    La liturgie du 25 décembre

    Fêter un anniversaire de naissance ne faisait pas partie des traditions juives, car ces pratiques étaient d’origines païennes. Les premiers chrétiens les ont rejetées jusqu’au IV° siècle de notre ère. La fête de Noël n’existait donc pas au début du christianisme. À cause de son origine païenne, les Témoins de Jéhovah ne célèbrent pas la fête du 25 décembre. C’est seulement à partir du II° siècle que l’Église a cherché à déterminer dans l’année le jour de la naissance de Jésus sur lequel les évangiles ne disent rien. Des dates différentes ont été proposées : le 6 janvier, le 25 mars, le 10 avril ...

    Vers 330 ou 354, l’empereur Constantin décida de fixer la date de Noël au 25 décembre. En 354, le pape Libère instaura la fête du 25 décembre qui marque le début de l’année liturgique. Cette date du 25 décembre a une valeur symbolique. En effet, en s’inspirant de Malachie 3/19 et Luc 1/78, on considérait la venue du Christ comme le lever du "Soleil de justice". La fête de Noël, fête du 25 décembre célèbre ainsi la naissance de Jésus soleil de justice.

    La fête du 25 décembre est arrivée progressivement en Orient et en Gaulle : en 379 à Constantinople, au début du V° siècle en Gaulle, au cours du V° siècle à Jérusalem et à la fin du V° siècle en Égypte. Dans les Églises d’Orient, au IV° siècle, on célébrait, sous des formes diverses, le 6 janvier la manifestation de Dieu.

     

    2. Histoire de Noël jusqu’à la fin du Moyen-Âge

    L’empereur Théodose en 425 codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël. La fête du 25 décembre est devenue exclusivement chrétienne. Clovis est baptisé dans la nuit du 25 décembre 496. En 506, le concile d’Agde en fait un jour d’obligation. En 529, l’empereur Justinien a fait de la fête du 25 décembre un jour chômé. La messe de minuit se célèbre dès le V° siècle, avec le pontificat de Grégoire le grand. Au VII° siècle, l’usage s’établit à Rome de célébrer 3 messes : la vigile au soir du 24 décembre, la messe de l’aurore et la messe du jour le 25 décembre.

    La fête de Noël s’est répandue progressivement en Europe. Elle a été célébrée à la fin du V° siècle en Irlande, au VII° siècle en Angleterre, au VIII° siècle en Allemagne, au IX° siècle dans les pays scandinaves, au IX° siècle et X° siècle dans les pays slaves. À partir du XII° siècle, la célébration religieuse de la fête de Noël est accompagnée de drames liturgiques, les "mystères" qui mettent en scène l’adoration des bergers ou la procession des mages. Ces drames liturgiques se jouaient primitivement dans les églises, puis sur les parvis.

     

    3. Histoire de Noël depuis la Renaissance

    Les crèches d’église apparaissent en Italie au XV° siècle et l’arbre de Noël en Allemagne au XVI° siècle. Puis les crèches familiales, napolitaines puis provençales, se développent a partir du XVII° siècle. Au moment de la Réforme en 1560, les protestants s’opposent à la crèche et préfèrent la tradition de l’arbre. Avec la contre réforme au XVII° siècle, les représentations des drames liturgiques sont interdites par l’Église parce qu’elles sont devenues trop profanes.

    Au XIX° siècle, le Père-Noël apparaît aux États-Unis. Il se répand en Europe après la deuxième guerre mondiale. À partir du XIX° siècle, les organismes de charité offrent aux plus démunis le traditionnel repas. Actuellement, cette journée tend à devenir principalement un jour de l’enfant et de la famille.t et de la famille.

     

    lire plus : http://cybercure.fr/les-fetes-de-l-eglise/avent-noel/noel/article/fete-de-noel-origine-histoire-du-jour-de-noel#Oq35DDqeHs2j60ZL.99


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  • 4ième dimanche de l'avent

    4ième dimanche de l'avent

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  • 3ième dimanche de l'Avent

     

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  • Saint Nicolas se fête différement selon les régions ou les pays

    Au Pays Bas, on fête le 6 décembre de manière particulièrement solennelle. "Sinterklaas" (Saint Nicolas ) arrive en Hollande vers le mi-novembre en bateau d'Espagne où il habite le reste de l'année. Il y est reçu avec tout un cérémonial. Saint Nicolas et Pierre le noir sont reçus par la Reine et le maire de la ville à son arrivée en Hollande. Saint Nicolas traverse alors la ville sur son grand cheval blanc. Aidé de son fidèle valet Pierre le noir et parfois de "swarte Pieten", des hommes à la peau marron ou noire, il distribue des bonbons, des gâteaux et des cadeaux et visite les malades.

    Le 5 décembre au soir, les enfants mettent leurs bottes devant la porte ou à côté de la cheminée. Le soir, on entend taper sur la fenêtre ou sur la porte et on trouve les cadeaux dans les bottes ... Pour les enfants sages... Les autres sont censés être emportés par les swarte Pieten dans les sacs de jute. Aujourd'hui tout le monde échange des présents et des cadeaux le 6 décembre.

    Dans ce pays la Saint Nicolas est beaucoup plus importante que Noël. L'arrivée de Saint Nicolas est même diffusée à la télévision !

     
     

     

     En Belgique et dans l'est de la France ou tout au moins en Wallonie, Saint Nicolas apporte les cadeaux et les bonbons la nuit du 5 au 6 décembre et déjà depuis la mi-novembre, dans certaines régions, il apporte un petit bonbon toute les nuits dans les souliers, jusqu'au jour J et les enfants qui n'ont pas été sages "reçoivent un morceau de charbon et craignent le martinet de père fouettard qui est tout noir". La tradition est fort semblable à celle de Hollande.

    Dans d'autres endroits pour le jour de la Saint Nicolas, on distribue aux enfants de grands pains d'épices en forme du Saint Evêque. Saint Nicolas défile dans les rues et distribue des bonbons aux enfants. C.D.

    - Je tiens à vous confirmer que le grand saint est actif de façon similaire dans toute la Belgique, pas uniquement dans une région linguistique donnée. Pierre Yves -

    Chaque région à ses particularités, merci de nous les faire connaître.

    Dans le nord de la France une coutume veut que les garçons organisent une immense farandole et bombardent les filles de farine à la sortie des écoles. Se faire blanchir porte chance toute l'année.

    Cette coutume est le reste d'une légende qui raconte que Saint Nicolas multiplia la farine pour préserver une région de la famine. La veille de la Saint Nicolas les petits enfants placent leurs souliers devant la cheminée avant d'aller se coucher. Il dépose à côté de leurs chaussures, une carotte et des sucres pour la mule du Saint Nicolas et un verre de vin pour réchauffer le grand Saint.

    Le jour de la Saint Nicolas, les garçons reçoivent de leur famille des petites cartes, tout comme les filles le jour de la Sainte Catherine le 25 novembre, ainsi que des friandises (bonbons, chocolats et pains d'épices) et des petits cadeaux.

    En Suisse :Le 5 décembre au soir de nombreux habitants se déguisent et défilent joyeusement dans les rues. Saint Nicolas défilent avec eux accompagné des Pères Fouettards qui font claquer leurs fouets au dessus des spectateurs ! Des hommes tout de blanc vêtus ferment le cortège. Ils portent d'ennormes cloches qu'ils font sonner.

    La fête du St-Nicolas à Fribourg en Suisse est aussi une grande fête, car c'est également le saint patron de la ville, les gens viennent de très loin pour venir voir le cortège du Saint Nicolas, entendre son discours entouré de ses pères fouettards.

    Dans la région de Hanovre et en Westphalie, on l'appelle aussi " Klas " ou " Bullerklas ". C'est à lui que les enfants adressent leurs prières, se réjouissant de petits présents qui les attendent pour le 6 décembre.

    En Autriche : Saint Nicolas est accompagné des Krampus qui menacent d'emmener les enfants désobéissants en enfer avec eux. Les Krampus portent une peau de bête et un masque affreux !

    En Solvaquie : Saint Nicolas est accompagné de personnages masqués, son rôle principal est de chasser la mort des habitations.

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