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    Les plus belles réparties

    Au restaurant, Alphonse Allais examine avec soin la carte et le menu. Il finit par commander :
    - Donnez-moi pour commencer...une faute d'orthographe !
    Le garçon imperturbable, répond du tac au tac :
    - Il n'y en a pas, Monsieur Allais
    - Alors, dans ce cas, pourquoi les mettez-vous sur le menu ?



    - Sept villes se disputent l'honneur d'avoir vu naître Homère, observe un pédant devant Alphonse Allais
    - Vous oubliez une huitième plus célèbre que les sept autres, remarque Allais.
    - Je regrette, mais il n'y en a que sept ! insiste le pédant : Argos, Athènes, Chio, Colophon, Rhodes, Salamos, st Smyrne.
    - Vous oubliez Allaure !
    - Allaure ?
    - Mais oui. La voix populaire a consacré Allaure comme la huitième ! Ne dit-on pas souvent : Homère d'Allaure ?



    Antoine-Vincent Arnault, poète, fabuliste et laborieux auteur dramatique (...) fit sa fortune dans le sillage de celle Bonaparte, qu'il servira jusqu'aux Cent-jours. A l'époque du Consulat, il propose au Théâtre-Français une tragédie en cinq actes et en vers : Le Roi et le Laboureur. La pièce est copieusement chahutée. Sans charité particulière, Bonaparte lui signale :
    - Voilà ce que c'est que de faire des tragédies après Corneille et Racine...
    - Général, repartit Arnaul, vous livrez bien des batailles après Turenne !



    Félix Galipaux fut l'un des grands acteurs comiques de la Belle Epoque...
    - C'est curieux, s'interrogeait Edmond de Goncourt, vous si drôle à la ville, vous êtes sinistre dans ma pièce.
    - C'est qu'à la ville, le texte est de moi.



    Lors d'une générale, Tristan Bernard voit arriver un spectateur fort en retard. Le monsieur lui serre la main et lui dit, à bout de souffle :
    - Ah ! j'ai manqué le premier acte !
    Et Tristan Bernard avec son flegme habituel :
    - Rassurez-vous, l'auteur aussi !



    - Pourquoi voit-on souvent l'homme d'esprit à la porte du riche, et jamais le riche à la porte de l'homme d'esprit ? demandait-on au philosophe Alain.
    - C'est parce que l'homme d'esprit connaît le prix des richesses, alors que le riche ignore le prix des lumières.



    Retrouvez d'autres réparties sur Vous n'aurez pas le dernier mot ! Petite anthologie désinvolte des plus belles réparties, recueillies par Jean Piat et Patrick Wajsman.

     

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