• Un partage d'Eliane

    Réflexions :
    >  
    > Un mec est venu sonner chez moi pour me demander un petit don pour la piscine municipale, je lui ai donné un verre d'eau.
    >  
    > Cette nuit un voleur s'est introduit chez moi, il cherchait de l'argent… Je suis sorti de mon lit et j'ai cherché avec lui.
    >  
    > La seule fin heureuse que je connaisse, c'est la fin de semaine...
    >  
    > De chez moi au bar il y a 5 minutes, alors que du bar à chez moi il y a 1h50 min...
    >  
    > L'ironie c'est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu sors pour bonne conduite...
    >  
    > Si ton ex te dit : «Tu ne trouveras jamais quelqu’un comme moi !», réponds lui : «Heureusement !» !
    >  
    > Le travail d'équipe est essentiel. En cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre !
    >  
    > Ne jamais jouer à saute-mouton avec une licorne. JAMAIS !
    >  
    > Les parents, c’est deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler, pour te dire ensuite de t’asseoir et de te taire !
    >  
    > Avant je savais bien écrire et, un jour, j’ai eu un téléphone portable: é depuis il c produi kelk choz 2 bizar…
    >  
    > Les statistiques, c'est comme les bikinis : ça donne des idées mais ça cache l'essentiel !
    >  
    > J'ai dit à ma femme que j'avais envie de la tuer, elle m'a dit que j'avais besoin de voir un spécialiste.. J'ai donc engagé un tueur à gages.
    >  
    > L'être humain est incroyable, c'est la seule créature qui va couper un arbre, en faire du papier et écrire dessus "Sauvez les arbres"


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  • Un partage d'Aice (marcheuse) sur son blog

    Un soir, dans le boudoir…

     

    « Ma chère Amélie 
    Bredouilla le Marquis, 
    Je dois vous avouer 
    Et vous m’en voyez peiné, 
    Que nos finances sont au plus bas, 
    Et, d’ici quelques mois, 
    Nous ne pourrons plus assurer 
    Notre train de vie comme par le passé. 
    Il va nous falloir sacrifier 
    Je pense, un ou deux employés, 
    Bien-sûr, nous allons garder 
    Servantes et valets, 
    Je ne désire point 
    Que vous usiez vos jolies mains 
    A laver, frotter, briquer, 
    Mais sans vouloir vous offenser, 
    Il serait bon que sans tarder 
    Vous appreniez à cuisiner… 
    Ainsi nous pourrons renvoyer 
    La cuisinière dans ses foyers ! »

     

    « Mon cher Amédée 
    Répondit la Marquise, offusquée, 
    Vous me voyez navrée 
    De la nouvelle que vous m’annoncez, 
    Mais je vous trouve bien maladroit 
    D’exiger ainsi de moi 
    Que je me mettes au labeur 
    Pour réparer vos erreurs, 
    Il me paraît plus approprié 
    Que de votre personne vous donniez. 
    Bien-sûr, nous allons garder 
    Palefreniers et jardiniers, 
    Je ne désire point 
    Que vous usiez vos nobles mains 
    A nettoyer, brosser, bêcher, 
    Mais sans vouloir vous offenser, 
    Il serait bon que dès le lever du jour 
    Vous appreniez à faire l’amour… 
    Ainsi nous pourrons renvoyer 
    Le chauffeur dans ses foyers ! »


     Véronique AUDELON 

     

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  • Un partage de Gaby


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  •  

    Trouvé sur henrylucienmerle.over-blog.com

    Publié le 31 Janvier 2015

    Aujourd’hui où l’on s’insulte fréquemment, quelques mots orduriers et maintes fois EMPLOYÉS traduisent une envie de vexer autrui. ,Pourtant, bien des choses encore plus méchantes pourraient être dites en s’exprimant dans un français correct avec une apparente politesse, et sans gros mots. En voici quelques exemples :

     

    On dit que les chiens ressemblent à leur maître, pourtant le vôtre est beau et semble intelligent.

    Combien touches–tu pour accepter de te montrer roulant dans une telle voiture ?

    En vous regardant, je ne comprends pas pourquoi votre coiffeur vous veut du mal.

    Tu te prends pour un battant, mais tu n’es qu’une cloche !

    Vous venez d’obtenir la Légion d’honneur, ce n’est pas grave, on vous aime bien quand même.

    Si tu veux éloigner tous ceux qui sont plus intelligents que toi, tu vas te sentir bien seul.

    Vous dites que vos enfants sont insupportables, c’est à coup sûr l’hérédité.

    Je vous ai souvent entendu dire : « Il y a des moments où je suis con ! », pourquoi une telle restriction temporelle ?

    Veuillez m’excuser de vous avoir regardée avec insistance, mais de loin je vous avais prise pour une jolie femme !

    Il paraît que vous êtes le père d’un fils d’imbécile.

    Ce que tu avances est tout aussi faux que les seins de ta sœur.

    Si tu avais pu choisir, aurais–tu aimé être intelligent ?

    Oh le bel enfant ! Qui pourrait imaginer que c’est le vôtre ?

    Je me demandais toujours ce que tu faisais de tes vieilles fringues, MAINTENANT j’ai la réponse : tu les portes !

    On dit que vous étiez un petit con. Quel changement radical depuis, vous avez bien grandi.

    Si ma fumée vous dérange, j’en suis désolé, mais je vous autorise à aller ailleurs.

    Excusez–moi d’avoir traité VOTRE animal de « con de chien », j’aurais dû dire « chien de con ».

     

    source : http://henrylucienmerle.over-blog.com/tag/rires%20et%20detente/


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  • Trouvé sur legrenierdebibiane.com

    Connaissez-vous l'histoire de Ti-Paul ?

    La prof de Ti-Paul qui est en maternelle est en train de vouloir lui mettre ses bottes.
    Il en a déjà mis une tout seul et l'autre semble ne pas vouloir rentrer.
    La prof a beau tirer et Ti-Paul pousser, c'est dur en titi.
    Finalement, avec beaucoup d'efforts et de sueurs, les bottes sont mises.

    Ti-Paul dit alors au prof:  " Elles ne sont pas du bon pied. "
    La prof s'arme de patience et ravale les gros mots qui lui passent par l'esprit et entreprend de lui enlever ses " maudites bottes ".

    La tâche pour enlever les bottes s'avère tout aussi difficile que de les mettre.

    Après une bonne demi-heure de travaux forcés, elle a finalement enlevé et remis les bottes à Ti-paul qui s'empresse de dire à son prof que ce ne sont pas ses bottes.

    (Ici on ferme les yeux et mentalement on regarde la couleur du visage du professeure qui passe du blanc au rose...au rouge pis au mauve et on entend tous les ustensiles de l'église qu'elle ravale parce que son statut de prof ne lui permet pas de se défouler comme elle le voudrait)

    Et Ti-Paul de poursuivre: " Elles sont à mon frère, ma mère m'a dit de les mettre parce qu'elles ne lui font plus. "
    Et la prof revient à sa couleur normale...

    Comme c'est l'hiver, et qu'il fait froid, elle demande à Ti-Paul où sont ses mitaines. Et Ti-Paul de répondre: " Je les ai mises dans le fond de mes bottes pour ne pas les perdre ! "


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