• Trouvé sur abc de la langue française

    Citations humoristiques de Pierre de Jade

    Il ne faut pas prendre de gants avec les mufles


    Le noir d'ébène n'est pas forcément un éboueur africain


    Ne jamais jeter l'opprobre, surtout quand on a des chaussettes sales


    Les petits qui utilisent les grands moyens n'ont pas vraiment le sens de la mesure


    Se gratter la tête c'est souvent le début d'un eczéma de conscience


    L'éphémère est beaucoup plus fugitif que l'effet belle-mère

     

    La lettre anonyme n'est pas la meilleure preuve de franchise postale


    Quand on pense que même l'inventeur de l'aspirateur a fini en poussières, ça décourage vraiment de passer le chiffon


    Le compliment d'abject, direct ou indirect, ne s'accorde avec rien


    Les statistiques le prouvent, il est beaucoup plus facile de trouver un régiment du génie qu'un génie du régiment

     

    C'est le genre de formule que j'aimerais avoir toujours sur moi, dans ma poche dite revolver.

     

    Si vous êtes raide comme un balai évitez soigneusement d'avoir les cheveux en brosse, ça ne fait pas bon ménage

    Contrairement au vigneron, le journaliste peut espérer faire un bon tirage avec une fuite dans la presse.

    Même une porcherie doit être faite dans les règles de l'art.

     

    Un pluriel bien singulier...

    Des singuliers se conjuguent au pluriel mais des pluriels sont-ils singuliers ? C'est la pluralité de la langue française qui la singularise


    Prenons un exemple pour étayer, si vous êtes mineur de fond, prenez plutôt des planches :


    Les Huns, qui arboraient fièrement leur H pour se différencier des autres, hormis le fait qu'ils étaient assez individualistes, étonnamment, étaient plusieurs.


    Mais alors me demanderait ma concierge qui a ses clés mais pas sa langue dans la poche, pourquoi les appelait-on les Huns ?

    J'émettrai bien une hypothèse que n'avait jusqu'alors jamais avancée Alain Decaux, et encore moins Jean-Claude son demi-frère, qui a toujours eu une forte propension à tomber plus facilement dans le panneau, j'émettrais bien l'hypothèse dis-je, que Léon était un patronyme beaucoup plus rarement usité à cette époque de sauvages, sans parler de Robert.
    Apprendre dans les livres d'Histoire que les Roberts avaient envahi la Gaule au 5ème siècle aurait été d'un ridicule !.... Alors qu'ils ne l'ont envahie que bien plus tard...

     

    - Pour être heureux en ménage, n'hésitez pas à passer l'éponge


    - J'aurais dû me douter, en me mariant avec un bon parti, qu'il ne resterait pas


    - Il est tout à fait normal qu'il existe un Saint-Siège puisqu'il y a des culs-bénits


    - On attend toujours que les gens soient absents pour médire sur leur compte : c'est ce que l'on peut qualifier de jolies calomnies de vacances


    - La minute médico-sociale : un refoulé qui a des reflux gastriques sur son lieu de travail, est-ce un motif de renvoi ?

    - Boxeur sur le retour recherche train direct pour éviter les crochets


    - Chevalier de la table ronde, demeurant au coeur de Lyon, cherche psychanalyste

     

    source : http://www.languefrancaise.net/forum/viewtopic.php?id=8181     page 1


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  •  

    10 237 Février ,La rose et les épines

                  La rose et les épines

    Un homme planta une rose et l'arrosa fidèlement, et avant qu'elle ne fleurisse,
    Il l'examina. Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines.
    Et, il pensa, « comment est-il possible qu'une fleur si magnifique
    Provienne d'une plante chargée d'autant d'épines pointues ? »
    Attristé par cette pensée, il négligea d'arroser la rose,
    Et avant qu'elle ne fût prête à fleurir,
    Elle mourut.
    Il en est ainsi pour beaucoup.
    A l'intérieur de chaque âme, il y a une rose.
    Les qualités divines plantées en nous à la naissance
    Grandissent parmi les épines de nos erreurs.
    Beaucoup d'entre nous se regardent eux-mêmes
    Et voient seulement leurs épines, leurs défauts.
    Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous.
    Nous négligeons d'arroser le bien qui est en nous
    Et finalement il meurt.
    Nous ne réalisons jamais notre potentiel.
    Quelques personnes ne voient pas la rose à l'intérieur d'elles-mêmes
    Quelqu'un d'autre doit la leur montrer.
    Un des dons les plus extraordinaires qu'une personne puisse posséder
    Est d'être capable de passer à travers les épines
    Et de trouver la rose à l'intérieur des autres.
    C'est la caractéristique de l'amour,
    De regarder une personne, et connaissant ses erreurs,
    De reconnaître la noblesse dans son âme,
    Et de l'aider à réaliser qu'elle peut dépasser ses erreurs.
    Si nous lui montrons la rose, elle fera la conquête des épines.
    Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants
    Comme celui qui lui a été donné.
    Notre devoir en ce monde est d'aider les autres
    En leur montrant leurs roses et non leurs épines.
    Alors seulement nous atteindrons l'AMOUR que nous devrions ressentir pour chacun ;
    Alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin !

           Pour ma pette cousine Corinne  

     

    Christiane  


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  • De bien belles images ...

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  • trouvé sur http://augredesbalades.canalblog.com/archives/2015/07/01/32265936.html

    Le miroir déformant

    par Anton Techekhov (1860-1904)

    Conte Russe

     

    ligne separatrice conte russe le miroir deformant

    de l'autre cote du miroir

    Nous entrâmes dans le salon, ma femme et moi. Il y régnait une odeur de mousse et d’humidité. Dès que nous fîmes de la lumière sur les murs qui n’en avaient pas vu depuis un siècle, des millions de souris et de rats se sauvèrent de tous côtés. La porte refermée derrière nous, nous sentîmes un souffle de vent agiter les papiers entassés dans les coins. La lumière nous permit de discerner des caractères anciens et des dessins datant du Moyen Age.

    ligne separatrice conte russe le miroir deformant

     

    allegorie a la vanite peinture 1633 jan miense molenaer

    Les portraits de mes ancêtres tapissaient les murs verdis par le temps. Ils nous regardaient d’un air sévère et dédaigneux comme s’ils avaient voulu dire : «Tu mérites une correction, mon petit ! ».

    Nos pas résonnaient dans toute la maison. Le même écho qui répondait jadis à mes aïeux renvoyait le bruit de ma toux.

    Le vent gémissait et hurlait. Un bruit de sanglots sortait de la cheminée, et l’on y discernait une sorte de désespoir. De grosses gouttes de pluie frappaient les vitres opaques et sombres et leur son éveillait la tristesse.

    « O ancêtres ! dis-je avec un soupir entendu. Si j’étais écrivain, j’écrirais un long roman rien qu’en regardant vos portraits. Chacun de ces vieillards a été jeune, tous ces hommes et ces femmes ont vécu leur roman d’amour… et quel roman ! Regarde par exemple cette vieille, ma bisaïeule. Cette femme laide et disgracieuse a son histoire, une histoire fort intéressante. Vois-tu ce miroir accroché dans le coin ? demandai-je à ma femme en lui montrant un grand miroir encadré de bronze noirci, près du portrait de ma bisaïeule.

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    mirror mirror

    « Ce miroir a des propriétés magiques : il a causé la perte de mon arrière-grand-mère. Elle l’avait payé très cher et elle ne s’en sépara pas jusqu’à sa mort. Elle s’y regardait nuit et jour, sans arrêt, même pendant les repas, et l’emportait le soir dans son lit. En mourant elle avait demandé qu’on le mette dans son cercueil. Et si sa prière n’a pas été exaucée, c’est que le miroir était trop grand et n’entrait pas dans la bière.

    ligne separatrice conte russe le miroir deformant

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