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    Avoir une araignée au plafond

    C’est dans le quartier Bréda aux environs de Notre-Dame de Lorette à Paris que naît cette expression. Un lieu où les prostituées de l’époque rencontraient leurs clients et racontaient ensuite, en parlant des plus fous, qu’ils avaient « une araignée au plafond ». L’araignée se logeant généralement dans des lieux négligés, délabrés et le plafond représentant le haut de la boîte crânienne, on comprend vite la métaphore. 

     

    Un·e de perdu·e, dix de retrouvé·es

    Au XIIIe siècle, « dix » était en fait « deux » ! On comprend donc mieux pourquoi ce proverbe ne se réalise jamais après une rupture. Pourtant, même si nos ancêtres étaient moins optimistes, le message était le même : la perte est facile à réparer.

     

    À deux vitesses

    L’expression apparaît avec le courrier à deux vitesses : deux tarifs différents pouvaient être appliqués en fonction de l’importance du courrier. À la base neutre, l’expression est devenue négative avec le temps et les usages polémiques, notamment le livre « La France à deux vitesses » (1982) de Lionel Stoléru, pour aujourd’hui signifier le plus souvent une différence de traitement.

     

    Couper la poire en deux

    A l’époque, la poire était un fruit dégusté avant le fromage car elle permettait de mieux le savourer. Alors que le repas touche à sa fin, mets et vins délient les langues. C’est le moment des confidences et compromis, d’où l’expression « Nous en parlerons entre la poire et le fromage » qui signifie « quand le moment sera propice ». Ainsi, « couper la poire en deux » renvoie à un compromis équitable entre les deux parties.

     

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