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    Épiphanie

    L'Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre le Messie venu et incarné dans le monde et qui reçoit la visite et l'hommage de mages. Elle a lieu le 6 janvier1. Depuis 1971, dans les pays où l'Épiphanie n'est pas un jour férié, elle peut se fêter le

    deuxième dimanche après Noël, c'est-à-dire le premier dimanche qui suit le 1er janvier2. En France, c'est le cas depuis 1802, règle qui a été instaurée par un décret du cardinal Caprara3, légat du pape Pie VII.  

    La fête s'appelle aussi - en particulier chez les orthodoxes - « Théophanie », qui signifie également la « manifestation de Dieu ».  

    Diverses coutumes sont observées à cette occasion. En France, en Suisse et en Belgique, depuis le Moyen Âge, une « galette des rois » ou un « gâteau des rois », pâtisseries contenant une fève, sont partagées ce jour-là ; celui ou celle qui trouve la fève dans sa part est surnommé « roi » ou « reine ».

     

    Historique

    À l'origine, une fête de la Lumière

    À l'origine, l'Épiphanie fait partie du cycle de Noël et tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière. En effet, Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle qui atteint son apogée au jour marquant le solstice d'hiver, le 22 décembre. Cette nuit du solstice — la plus longue de l'année — annonce le rallongement des jours et — par extension — la renaissance de la Lumière censée être à l'origine de toutes choses. Puis la célébration se prolonge après le 25 décembre durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours et 12 nuits.  

    Le nombre 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 dieux olympiens, 12 tribus d'Israël, 12 apôtres, etc.)

    Le cycle prend fin le 6 janvier. C'est à ce moment que les jours commencent à s'allonger de façon sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est tenue, et c'est cette date que choisit le Père de l'Église Épiphane de Salamine, dans son Panarion, comme date de naissance de Jésus, afin de réfuter une date concurrente proposée par la secte gnostique des Alogoi8. On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière. Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil. Il est à noter également que c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le calendrier alors en vigueur — le calendrier julien — diffère du nôtre) qu'avait lieu sous la Rome antique la fête des 12 Dieux épiphanes (autrement dit les 12 Olympiens).

    La Fête romaine des Saturnales

    Article détaillé : Saturnales.

    La date de l'Épiphanie correspond aussi à l'origine à une fête païenne : sous l'Antiquité, les Romains fêtent les Saturnales qui durent sept jours pendant lesquels la hiérarchie sociale et la logique des choses peuvent être critiquées sinon brocardées et parodiées.

    lire davantage sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Épiphanie


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  • Quatrième dimanche de l'Avent

    Les quatre bougies de l’Avent

     

    La bougie, symbole de la lumière.Les quatre bougies représentent les quatre dimanches de l’Avent et sont allumées à chacun des dimanches. Noël sera là lorsque la dernière bougie sera allumée.

    Premier dimanche la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve.
    Deuxième dimanche la bougie symbolise la foi des Patriarches, en la Terre Promise.

     

    Troisième dimanche la bougie symbolise la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu
    Quatrième dimanche la bougie symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice.

    Le plus souvent les bougies sont rouges pour évoquer le feu et donc la lumière. En Suède, elles sont blanches symbole de fête et de pureté. En Autriche, elles sont violettes qui est un symbole de pénitence. Retour ligne automatique
    Le nombre quatre symbolise aussi les quatre saisons et les quatre points cardinaux.Retour ligne automatique
    La couleur verte de la couronne symbolise la végétation, signe d’espérance durant les longs mois d’hiver.

    Aller plus loin

     

     

     

     


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  • Avent, troisième dimanche

    Troisième dimanche de l'Avent

    Dimanche de Gaudete !

    Sauter à la recherche 

     
    Introït grégorienne du 3e dimanche de l'Avent, appelé dimanche de Gaudete
    [écouter en ligne [archive]].

    Le troisième dimanche de l'Avent, ou dimanche de Gaudete, se situe entre une et deux semaines avant Noël dans le calendrier liturgique catholique du rite romain.

    Dimanche de Gaudete[modifier | modifier le code]

     

    Le troisième dimanche de l'Avent est aussi appelé dimanche de Gaudete. En effet, dans le Missel romain, l'introït de la messe de ce dimanche commence par la phrase latine suivante : « Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete » (« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous ! »). Cette phrase rappelle la joie de l'Église dans l'attente de l'avènement du Christ.

     

    source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Troisième_dimanche_de_l'Avent

     

     

    C'est pourquoi les vêtements liturgiques, violets pendant tout le temps de l'Avent, peuvent exceptionnellement être roses ce jour-là. Pour la même raison cette possibilité existe le quatrième dimanche de Carême.

     


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  • Noël (Veille de) : jeux,
    divertissements et réjouissances 

    Divertissements de Noël autrefois

    Une notice sur Beaufort, commune de l’Anjou, mentionne une très ancienne coutume dont il ne reste pas trace dans les traditions du pays. C’était, à Beaufort, un usage que tous les jeunes gens mariés dans l’année se réunissent la veille de Noël, pour offrir au public un grand divertissement. A l’heure indiquée, ils se rendaient, escortés de toute la foule, sur un pont situé sur une petite rivière, à l’extrémité de la ville.

    Carte Joyeux Noël du XIXe siècle
    Carte Joyeux Noël du XIXe siècle

     

    Là, au signal donné par les premiers magistrats de la cité, et en présence du seigneur du lieu qui présidait la cérémonie, ils se précipitaient dans l’eau pour y saisir, en nageant, une pelote que l’on avait jetée dans le courant. Les nageurs avaient la liberté d’arracher la pelote des mains de ceux qui l’avaient saisie les premiers ; c’était, on peut le penser, une lutte fort longue et fort distrayante. Celui qui, le plus fort ou le plus adroit, parvenait à se rendre maître de la pelote était proclamé le vainqueur. Il recevait cinquante livres pour « monter son ménage » et était reconduit chez lui au son de la trompe, au bruit des tambours, des fifres et des hautbois. Ceux des jeunes gens qui, n’étant pas malades, « ne voulaient pas grelotter en nageant après la pelote », payaient une amende au profit du vainqueur.

     

    pour lire davantage, cliquez sur l'image ci-dessus


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  •  

    1) traditions de noël bretonnes

    Les traditions de Noel  

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    2) traditions de noël provençales

    Les traditions de Noel

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