• trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net

    trouvé sur le Net


    votre commentaire
  • Trouvé sur lerefletdelalune.blogspot.com

    Ozymandias  

     J’ai rencontré un voyageur de retour d’une terre antique
    Qui m'a dit : « Deux immenses jambes de pierre dépourvues de buste
    Se dressent dans le désert. Près d’elles, sur le sable,
    À moitié enfoui, gît un visage brisé dont le sourcil froncé,

    La lèvre plissée et le rictus de froide autorité
    Disent que son sculpteur sut lire les passions
    Qui, gravées sur ces objets sans vie, survivent encore
    À la main qui les imita et au cœur qui les nourrit.

    Et sur le piédestal il y a ces mots :
    "Mon nom est Ozymandias, Roi des Rois.
    Voyez mon œuvre, ô puissants, et désespérez !"

    À côté, rien ne demeure. Autour des ruines
    De cette colossale épave, infinis et nus,
    Les sables monotones et solitaires s’étendent au loin. »

     
     Percy Shelley, 1817.

     

     
    David Roberts (1796 - 1864) - Ramesseum

     
     

     

     

     

     
     
     

     


     


     



     

    « Ozymandias » est l'autre nom du pharaon Ramsès II. Ce poème de Shelley illustre l'implacable empire du temps auquel ne résiste aucune majesté. Tellement fier de son pouvoir et de ses conquêtes, Ramsès II a cru inscrire dans la roche toute la démesure de son orgueil : « Mon nom est Ozymandias, Roi des Rois. Voyez mon œuvre, ô puissants, et désespérez ! ». Mais même les statues les plus monumentales finissent par s'effondrer, toutes les splendeurs finissent par être englouties sous les sables. Ne reste que des ruines de ces œuvres colossales et des dunes pour les recouvrir. Vanité des vanités... C'est le temps qui dit aux puissants de désespérer. C'est le temps qui se moque de toute grandeur. Et c'est le temps qui appelle à contempler et à voir l'immensité du monde.

     


     


    votre commentaire
  • Un partage d'Eliane

     

    Oui !   L'horloge tourne inexorablement  

     

    Prendre le temps de lire cette belle page sur le temps qui passe !!!!!


    Le temps file et passe à la vitesse grand V...

    À peine la journée commencée  et ... il est déjà six heures du soir.

    A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.

    ... et le mois est déjà fini.

    ... et l'année est presque écoulée.

    ... et déjà  30, 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.

    ... et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.

    et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ...

    Alors... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...

    N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...

    Mettons de la couleur dans notre grisaille...

    Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.

    Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.

    Essayons d'éliminer les "après" ...

    je le fais après ...
    je dirai après ...
    J'y penserai après ...

    On laisse tout pour plus tard comme si "après" était à nous.

    Car ce qu'on ne comprend pas,   c'est que  :

    après, le café se refroidit ...
    après, les priorités changent ...
    après, le charme est rompu ...
    après, la santé passe ...
    après, les enfants grandissent ...
    après, les parents vieillissent ...
    après, les promesses sont oubliées ...
    après, le jour devient la nuit ...
    après, la vie se termine ...
    Et après c’est souvent trop tard....

    Alors...  Ne laissons rien pour plus tard...

    Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,
    les meilleures expériences,
    les meilleurs amis,
    la meilleure famille...

    Le jour est aujourd'hui...  L'instant est maintenant...

    Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.

    Alors voyons si vous aurez le temps de lire ce message et ensuite de le partager ...  JE VIENS DE LE FAIRE

    Ou alors vous le laisserez peut-être pour...  plus tard...


    Et vous ne le partagerez  jamais ....

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    votre commentaire
  •  image

    « Partager »

    Est-il possible qu’une terre soit humaine

    où des vivants meurent de faim,

    de solitude et de manque d’amour ?

     

    Est-il possible qu’une terre soit humaine

    où des vivants disparaissent, sans un cri,

    du milieu de leurs frères

    parce qu’ils n’ont pas eu la part quotidienne

    de pain, de présence et d’amour ?

     

    Est-il possible qu’une terre soit humaine

    où des vivants tombent en poussière

    parce que leur bouche est trop sèche

    pour appeler à l’aide

     

    et l’être trop vide pour pousser

    la longue plainte de la détresse dernière ?

     

    Est-il possible qu’une terre soit humaine

    où des vivants regardent leurs frères s’en aller à la faim

    sans courir vers eux et se partager pour eux comme du pain ?

    (Charles SINGER)


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique