• Un partage de Lydia

    Quelques répliques exceptionnelles...
     

     

    BONS MOTS.d’HOMMES (et de FEMMES) d’ESPRIT.....

     

    Cette phrase de Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci : "Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"
    Et Robert Surcouf de répondre : "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas"

     

    Quand humour rime avec culture, c'est un miel !

    Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes :
    « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »
    Réplique de Wilkes :
    « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »

     

    Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :
    « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
    Réplique de Churchill :
    « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, ça ne se verra plus ! »

     

    Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :
    « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
    Réplique d'Amanda :
    « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »

     

    Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
    « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
    Réplique de sa femme :
    « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »

     

    Churchill fit un jour la remarque suivante à son ami George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :
    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
    Réplique de Shaw :
    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »

     

    Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.
    Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :
    « Winston, Si j’’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
    Réplique du tac au tac de Churchill :
    « Eh bien moi, Nancy, si j’’étais votre mari, je le boirais"

     

    Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière.
    « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
    « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide. «

     

    Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc :
    « Être chauve, est-ce un handicap ? »
    « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »

     

    Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève :
    - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.
    Et Périer de répliquer du même ton :
    - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.

     

    Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
    Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.
    Un jour, elle s'avisa de lui demander :
    - Comment allez-vous, Prince ?
    - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.

     

    -« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’'épouse du Maréchal de Boufflers après qu’’il fut décédé.
    -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » réplique-t-elle.

     

    Monsieur de Rivarol, combien d’’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’’homme célèbre.
    Réponse :
    -«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’’en avez-vous donc pas assez ?"

     

    A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités.
    L’'un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :
    "C’est pour la route. »
    « Merci d’’être venu d’'aussi loin, lui lance Churchill. »

     


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  • Un partage de Corinne

     HUMOUR VACHE !!!

    Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci : "Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"
    Et Robert Surcouf de répondre : "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas!!!"

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    Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes :
    « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »
    Réplique de Wilkes :
     « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »
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    Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :
     « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
     Réplique de Churchill :
     Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre !

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    Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :
    « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
    Réplique d'Amanda :
     « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »
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    Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
    « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
     Réplique de sa femme :
    « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »
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    Churchill fit un jour la remarque suivante à son George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :

    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
     Réplique de Shaw :
    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. 
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    Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.
    Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :
     « Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
    Réplique du tac au tac de Churchill :
    « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! »
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    Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève :
     - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.
     Et Périer de répliquer du même ton :
    - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.
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    Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
     Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.
     Un jour, elle s'avisa de lui demander :
    - Comment allez-vous, Prince ?
     - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.
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    Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre.
    Réponse :
     -«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"
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    A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :
     "C’est pour la route. »
    « Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill. »

     


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  • Trouvé sur coindeweb.net/citations/reparties.html

    Reparties

    [ NB : Oui, tout le monde dit « répartie » mais Frédéric Bach a attiré mon attention que, comme dans Clemenceau, il n’y a pas de é. Le Petit Larousse confirme ! ]


    Le Vicomte : Maraud, faquin, butor de pied plat ridicule !
    Cyrano, ôtant son chapeau et saluant comme si le vicomte venait de se présenter :
    Ah? Et moi, Cyrano-Savinien-Hercule de Bergerac.

    Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac


    Nous sommes dans la merde, mais ce n’est pas une raison pour la remuer.

    Général Marcel Bigeard


    Quand une pensée s’aboutit en un slogan, c’est agréable, c’est confortable, ça peut même permettre de remporter quelques victoires rhétoriques tranquillisantes. Le problème, c’est que ce n’est plus de la pensée.

     Serge Lehman,
    liste de discussion SFFranco, 6 avril 2005


    Ceux qui médisent derrière mon dos, mon cul les contemple.

    Francis Picabia


    Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d’eux, ils en diraient bien davantage.

    Sacha Guitry


    Ne me faites pas d’objections. Les difficultés en feront assez d’elles-mêmes.

    Winston Churchill à Lord Mountbatten,
    à propos de la réalisation des ports artificiels pour le Débarquement de Normandie


    Pour être équilibré, votre projet l’est : 50% d’inapplicable, 50% d’inacceptable.

    Laurent Fabius à Jean-Louis Debré,
    au sujet de sa loi sur l’immigration, Assemblée Nationale, 27 février 1997


    Ce qui manque aux orateurs en profondeur, ils vous le donnent en longueur.

    Montesquieu, Mes pensées


    Ce n’est pas parce que c’est une utopie que c’est forcément une chimère.

    Moi


    Cela ne peut pas se faire du jour au lendemain [...]
    - On peut avoir commencé du jour au lendemain.

    Isaac Asimov, Blind Alley


    Si je n’en affirme pas davantage, c’est que je crois l’insinuation plus efficace.

    André Gide


    Il vaut mieux avancer dans la pagaille que piétiner dans l’ordre.

    Claude Fitoussi


    Ne me dites pas que ce problème est difficile. S’il n’était pas difficile, ce ne serait pas un problème.

    Maréchal Foch


    Je ne suis pas optimiste, je suis déterminé.

    Jean Monnet


    Écoute, fais-moi une faveur, veux-tu ? Va te faire foutre et crève !

    Jonathan Coe, Le Testament anglais (What a Carve Up !), I


    (Lady Astor à Winston Churchill)
    - “If you were my husband, I’d put arsenic in your coffee.”
    [- Si vous étiez mon mari, je verserais de l’arsenic dans votre café.]
    (Winston Churchill à Lady Astor)
    - “If I were your husband, I’d drink it!”
    [- Madame, si j’étais votre mari, je le boirais.]


    Tu vois, c’est ça le problème avec les terroristes : ils n’ont aucun respect pour ta vie privée.

    Arnold Schwartzenegger, True Lies


    Mon seul dopping, c’est la page blanche. Parfois je commence sur n’importe quoi : « Bonjour, comment ça va ? Va te faire foutre. »

    Michel Audiard


    Traiter son prochain de con n’est pas un outrage, mais un diagnostic.

    Frédéric Dard

    Je suis incontestable.
    La preuve, j’ai été testé !

     Bruno Masure, Débloc-Notes


    On nous promet la lune et on se retrouve avec une balle de golf dans les pattes.

    Dreamside, forum cybercable.discussions, 2 février 2000


    Il y a des bêtises que j’ai faites, uniquement pour avoir le plaisir de les raconter.

    Sacha Guitry


    Être dans le vent : une vocation de feuille morte.

    Attribué à Gustave Thibon ou Milan Kundera

    Plus exactement, Gustave Thibon a écrit :

    La feuille morte voltige d’un lieu à l’autre, mais tous les lieux se valent pour elle, car son unique patrie est dans le vent qui l’emporte.

    Gustave Thibon, L’équilibre et l’harmonie, p.14


    Trouvé sur fr.lettres.langue.francaise, les insultes du capitaine Haddock :


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  •  

    Un partage de Lydia

    Répliques... Lionel

    Voici, pour aiguiser votre sens de la repartie...elles sont toutes savoureuses

      Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes :
      « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »
      Réplique de Wilkes :
      « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »


      Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :
      « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
      Réplique de Churchill :
      « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »

      Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :
      « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
      Réplique d'Amanda :
      « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »
     


    Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
      « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
      Réplique de sa femme :
      « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »
     

    Churchill fit un jour la remarque suivante à son George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :
      « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
      Réplique de Shaw :
      « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »

     
    Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.
      Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :
      « Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
      Réplique du tac au tac de Churchill :
      « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! »

      Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière.
      « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
      « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide. «

      Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc :
      « Être chauve, est-ce un handicap ? »
      « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »

      Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève :
      - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.
      Et Périer de répliquer du même ton :
      - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.

      Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
      Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.
      Un jour, elle s'avisa de lui demander :
      - Comment allez-vous, Prince ?
      - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.

      -« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’épouse du Maréchal de Boufflers après qu’il fut décédé.
      -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » réplique-t-elle.

    Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre.
    Réponse : -«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"

      A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :
      "C’est pour la route. »
      « Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill. »

     

     


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  • Un partage de Cath

    image de Corinne

    Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes; Montagu dit à Wilkes :

    « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »

    Réplique de Wilkes :

    « Cela dépend, monsieur, de si j'embrasse vos principes, ou votre maîtresse. »

      

    Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :

    « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »

    Réplique de Churchill :

    « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »

      

    Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :

    « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »

    Réplique d'Amanda :

    « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »

      

    Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :

    « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »

    Réplique de sa femme :

    « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »

      

    Churchill fit un jour la remarque suivante à son ami George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :

    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »

    Réplique de Shaw :

    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »

      

    Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.

    Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :

    « Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »

    Réplique du tac au tac de Churchill :

    « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! »

      

    Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière.

    « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.

    « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide. «

      

    Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc :

    « Être chauve, est-ce un handicap ? »

    « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »

      

    Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève :

    - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.

    Et Périer de répliquer du même ton :

    - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.

      

    Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.

    Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.

    Un jour, elle s'avisa de lui demander :

    - Comment allez-vous, Prince ?

    - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.

      

    « Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’’épouse du Maréchal de Boufflers après qu’’il fut décédé.

    « Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » réplique-t-elle.

      

    Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre.

    Réponse :

    «Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’’en avez-vous donc pas assez ?"

      

    A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités.

    L’’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :

    «C’est pour la route. »

    « Merci d’être venu d’’aussi loin, lui lance Churchill. »

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