• Réparties anonymes

    Dans le métro, une dame revenant de faire les magasins avec plein de paquets partout aux heures de pointe, s'adresse à un grand noir assis sur une banquette.
    - Monsieur, dans mon pays, les gens laissent la places aux dames comme moi
    - Madame dans mon pays, les gens comme vous on les bouffe !
     

    - Et ta sœur ?
    - J'en ai pas !
    - Bah amène ta mère, je vais t'en faire une!

    - Je donnerais n'importe quoi pour qu'on cesse de me traiter de corrompu !
    - Vous iriez jusqu'à combien ?

    "Je n'ai rien compris à ce que vous avez essayé de me dire, mais je n'ai probablement pas perdu grand chose..." Classique mais redoutable : 

    - Tu perds tes cheveux on dirait ?
    - Et alors ? T'as peur que je plaise moins à ta mère ?

    - "Un cheval, mon royaume pour un cheval", déclamait un acteur
    - Un âne ne suffirait pas ? lance un spectateur du balcon
    - Mais bien sûr, descendez donc, cher monsieur!

    Un gars faisant le beau auprès d'une femme dans une soirée
    - Vous avez vu la tronche du guignol, là-bas ?
    - C'est mon mari, il s'appelle Roger.

    Une personne donne une pièce de 5 centimes à un SDF qui demande l'aumône
    - - Bougez pas, je vais vous rendre la monnaie !" Répond le SDF

    Voilà une stupidité que vous avez eu la pudeur de ne pas signer, mais vous auriez pu avoir celle de ne pas l'écrire. scie qui traîne sur le web depuis le début des forums de discussions, mais c'est bien torché !

    - Zut, j'ai oublié ce que je voulais vous dire !
    - Bof, si c'est réellement important ça vous reviendra...

     

    source : Reparties cinglantes (pagesperso-orange.fr) 


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  • Trouvé sur le Net

     

    - Kim Novak : Quel est mon meilleur profil, d’après vous monsieur Hitchcock ? 

    Alfred Hitchcock : Vous êtes assise dessus

     

    Petit-fils d’esclave, Alexandre Dumas a un jour une altercation avec un malotru qui se moque de ses origines :

    - Monsieur Dumas, vous comptez des singes parmi vos ancêtres.

    - Ma famille commence où la vôtre finit.

     

    Churchill lance à Nancy Astor, première femme élue à la Chambre des communes :

    - Vous voir dans cette assemblée est aussi gênant que si vous entriez dans ma salle de bains alors que je suis nu.

    - Vraiment, Winston, pour une si petite chose ?

     

    Un grand classique : "J'ai rencontré un jour un mec, il était con, mais con.... Vous à côté c'est rien 

    Variante de Coluche : "Mais vulgaire, mais vulgaire la fille !!! Vous à coté c'est rien!"

     

    lire plus sur les sources suivantes:

                  Reparties cinglantes (pagesperso-orange.fr) 

          et  : Top 25 des meilleures réparties de l’Histoire, les jolis petits uppercuts | Topito

     

     

     

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  • Trouvé sur http://marinestla.centerblog.net

    1- Prof : Que dois-je faire pour répartir 11 pommes de terre également entre 7 personnes ?
    Élève :Préparer les pommes de terre en purée !
    (LOGIQUE !)


     

     

    2-Prof : Quel est le présent de l'indicatif du verbe marcher?
    Élève :Je marche, tu marches, il marche…
    Prof : Plus vite!
    Élève :Nous courons, vous courez, ils courent
    (ÉVIDEMMENT !)


     

     

    3- Prof : De quel temps s'agit-il si je dis : «Il pleuvait»?
    Élève:C'était du mauvais temps!
    (SANS DOUTE !)


     

     

    4- Prof : Combien de cœurs avons-nous ?
    Élève :Nous avons deux coeurs
    Prof : Deux?
    Élève :Oui, le vôtre et le mien !
    (ÉVIDEMMENT !)


     

     

    5- Deux élèves arrivent en retard à l'école. Ils s'expliquent :
    Élève 1 :Je me suis réveillé en retard... Je rêvais que j'étais en Polynésie et le voyage a duré plus longtemps que prévu...
    Élève 2 :Et moi, je devais aller le chercher à l'aéroport.
    (FUTÉ ARGUMENT !)


     

     

    6. Prof : Nommez cinq choses qui contiennent du lait ?
    Élève :Un fromage et quatre vaches…
    (BEN QUOI...)


     

     

    7- Un étudiant en DROIT à son examen oral...
    Prof : Qu'est-ce qu'une fraude?
    Élève :C'est ce que vous êtes en train de faire, Monsieur.
    Prof : Expliquez-vous…
    Élève :Le Code pénal dit : Celui qui profite de l'ignorance de l'autre pour lui porter préjudice commet une fraude.
    (IRRÉFUTABLE !)


     

     

    8- Prof : Où est l'Amérique du Nord sur la carte du monde Maria?
    Maria : Pointe correctement l'Amérique du Nord
    Prof à la classe : Et qui a découvert l'Amérique ?
    Classe :Maria !
    (FORTICHE !)


     

     

    9- Prof : Jean, priez-vous avant chaque repas ?
    Jean :Non, pas besoin; ma mère est une excellente cuisinière.
    (CONFIANCE !)


     

     

    10- Prof : Louis, ta rédaction «MON CHIEN» est pareille à celle de ton frère. As-tu as copié sur lui ?
    Louis :Non, non ! Mais il s'agit du même chien !!!
    (BEN SÛR !)


     

     

    11- Prof : Comment appelle-t-on quelqu'un qui continue de parler même quand les gens ne s'intéressent pas au sujet ?
    Élève :Un prof.
    (OUPS ?)

     

    source : humour (centerblog.net)

     

     


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  •  L'humour de De Gaulle !...

    Cet homme m'a toujours inspiré beaucoup d'admiration et de respect....!!!!

    Sacré bonhomme !!!!

     On avait de l'esprit en haut lieu en ce temps-là....les temps ont changé !
       

    Un régal ce florilège !

    Le Général voyait très loin. La preuve, la dernière phrase de ce texte "Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche... ..

    En septembre 1959, lors d'un voyage officiel dans le Pas-de-Calais, de Gaulle, devenu président de la République, est présenté à l'abbé Baheux, très ému, qui lui dit en tremblant : «Mon… mon Général… C'est moi qui vous ai marié en 1921… » De Gaulle : « Rassurez-vous, Monsieur le Curé, je ne vous en veux pas ! »

    Lors du même voyage, de Gaulle retrouve Jules Cousin, qui fut son compagnon de chambrée au 33e régiment d'infanterie à Arras, près d'un demi-siècle plus tôt. Jules Cousin, qui l'avait le premier surnommé « la grande asperge», est si impressionné qu'il reste muet. Peu après, de Gaulle glisse à l'oreille de son beau-frère : « Le brave Jules a pu constater que la grande asperge est devenue une grosse légume ! »


    Le 9 septembre 1961, au lendemain de l'attentat OAS de Pont-sur-Seine qui a échoué en raison d'une défaillance de détonateur, Jacques Chaban-Delmas félicite le Général d'en être sorti sain et sauf. De Gaulle, d'un air jovial : « Oui, il paraît qu'on n'aurait rien trouvé de moi, même pas le képi. Il est vrai que j'étais en civil ! Et puis, Chaban, réfléchissez. C'était une belle sortie ! […] Ça vaut tout de même mieux que de mourir d'une attaque aux cabinets ! »

    En conseil des ministres, 13 novembre 1961. On vient d'apprendre que l'ambassade de France à Rabat a été mise à sac. Commentaire du ministre des Affaires étrangères Couve de Murville : « Bien sûr, si nous étions encore en régime de protectorat, cela ne se serait pas produit. » Conclusion du Général : « Et si les Français de Napoléon étaient restés à Moscou, il n'y aurait pas eu Staline. »

    10 mai 1962, dans un petit village du Jura. De Gaulle : « Alors, Monsieur le Maire, pour l'eau, ça va ?
    – Oui, mon Général, ce qu'on aimerait maintenant, c'est avoir le téléphone.
    – Ah, vous en êtes déjà là !… Je prends bonne note… Je vous téléphonerai ! »

    Grande messe à la cathédrale de Limoges, 20 mai 1962. De Gaulle, de retour à la préfecture : « J'aime bien ces messes. C'est le seul endroit où je n'ai pas à répondre au discours qu'on m'adresse. »

    Henri Tisot, imitateur du général de Gaulle, avait vendu entre 1961 et 1962 plus d'un million d'exemplaires de son disque parodique L'Autocirculation. Il avait récidivé en 1962 avec « La Dépigeonnisation », mais en un an, les ventes n'avaient atteint que 300 000 exemplaires. Réaction du Général : « Tiens, Tisot est en baisse. Je vais encore me retrouver tout seul… »

    En fait, de Gaulle était sensible à l'humour du personnage. D'où cette réflexion caustique : « Au fond, Tisot fait le même métier que moi : il répète tout le temps la même chose. Mais lui, au moins, ça lui rapporte ! » À une femme de ministre qui s'indignait bruyamment des imitations de Tisot, de Gaulle avait répondu : « Mais, Madame, il fait ça très bien, et d'ailleurs, je l'imite parfois aussi, à mes mauvais moments ! »

    Après l'attentat du Petit-Clamart, de Gaulle était insatisfait de l'attitude des ministres qui ne lui avaient pas écrit, car il considérait avoir été mitraillé en tant que chef de l'État, «dans sa fonction officielle ». En revanche, lorsqu'en avril 1964 il est opéré de la prostate, c'est uniquement l'homme privé qui est concerné, et il s'indigne de recevoir à l'hôpital Cochin des lettres de ses ministres : « Enfin, ce n'est tout de même pas la prostate de l'État ! »

    Lors d'une réception à l'Élysée, un ambassadeur s'approche du Général et lui dit : « Savez-vous, Monsieur le Président, que ma femme est très gaulliste ? » Réponse du président : «Eh bien ! La mienne, Monsieur l'Ambassadeur… Ça dépend des jours ! »

    Cérémonie du 14 juillet ; à la hauteur de la tribune présidentielle, un char AMX tombe en panne, le bel ordonnancement de la parade est rompu et un certain désordre s'installe. On entend de Gaulle murmurer en hochant la tête : « Voilà… Et ça fait deux mille ans que ça dure ! »

    De Gaulle visite la Bibliothèque nationale, qui a exposé à cette occasion un brouillon de sa main, très raturé comme à l'ordinaire, à côté d'un manuscrit de Corneille, sans ratures ni surcharges. Réflexion du Général : « Tiens, Corneille ne se relisait pas ! »

    À Colombey, Malraux, qui s'entretient avec le Général, s'interrompt pour lui désigner le chat : « Regardez, mon Général, ses oreilles qui bougent… Le chat nous écoute. » De Gaulle sourit : « Pensez-vous ! Je le connais… Il fait semblant. »

    Une chasse à Rambouillet. Réflexion d'un des invités : « Ah, mon Général, la chasse ! Que d'émotions ! C'est vraiment comme à la guerre ! » De Gaulle : « Oui… À une différence près, cependant : à la guerre, le lapin tire ! »

    Printemps 1968. La Révolution culturelle fait rage en Chine. À Pékin, un cortège de gardes rouges défile avec des banderoles « Non à la tête de chien de De Gaulle ! » Commentaire du Général : « C'est quand même un comble de se faire traiter de chien par des Pékinois ! »

    1967 - Président de la France de 1958 à 1969, De Gaulle a prononcé cette phrase lors d'une visite au CNRS à une époque où l'on déplorait le manque d'inventivité des chercheurs :
    Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche...


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