• Un partage de Corinne

     

    Mourir et renaître

     

    Un homme trés pauvre dans un village

    avait un splendide cheval blanc. 

    Même les rois l'enviaient et lui en offraient un prix fabuleux.
    Mais le vieil homme refusait et disait: 
    "pour moi ce cheval n'est pas un animal..c'est un ami..le ... m'est impossible"!

    Un beau matin l'animal n'était plus dans l'écurie..il avait disparu. 

    Tout le village se rassembla et le traita de vieux fou...
    "On t'avais bien dit de le ... . 
    tu serais riche aujourd'hui et maintenant te voila sans cheval! 
    Quel malheur! quelle malchance!"

    Le vieil homme répliqua: "Vous allez trop loin. 
    Le cheval n'est plus dans l'écurie. 
    C'est tout... 
    Qui vous permet de juger et de dire si c'est une chance ou une malchance!"..

    Les gens se mirent à rire croyant que le vieil homme était devenu fou..
    il coupait son bois.. ne se préoccupait de rien.. cet homme était donc fou!

    15 jours plus tard, le cheval qui n'avait pas été volé 
    mais s'était echappé revint avec une douzaine de chevaux sauvages.

    De nouveaux les villageois arrivèrent et dirent:
    "Tu avais raison vieil homme, nous nous trompions en parlant de malheur. 
    En réalité c'était une bénédiction.
    Nous sommes désolés!"
    Le vieil homme répondit: "Vous allez encore trop loin!
    Le cheval est revenu avec douze compagnons..c'est tout. 
    Ne jugez pas à nouveau!"
    Vous ne connaissez qu'un fait isolé 
    et à moins de ne connaitre toute l'histoire personne ne peut conclure..

    Le vieil homme avait un fils unique. 
    En dressant les chevaux sauvages il se cassa les deux jambes.

    Les villageois revinrent encore et ne purent s'empêcher de juger.
    "Tu avais raison, ce n'était pas une bénédiction, 
    mais un nouveau malheur!. 
    ton seul soutien de vieillesse!. 
    Te voila plus pauvre que jamais!"
    Le vieil homme dit. "Juger est une manie chez vous! mon fils s'est cassé les jambes..
    Qui sait si c'est un bien ou un mal.. c'est ainsi. c'est tout!"

    Quelques semaines plus tard le pays entra en guerre.
    Tous les jeunes furent mobilisés et envoyés au front sauf le fils du vieil homme..
    Le village tout entier pleurait et dit au vieil homme. 
    "Tu avais raison. 
    Ton fils a beau être mal en point il est prés de toi...
    nos fils sont partis pour toujours!"

    Le vieil homme dit..
    "Il est décidément impossible de parler avec vous, vous n'arrêtez pas de juger!"
    Dites simplement que vos fils ont été enrolés de force dans l'armée et non le mien!"

    Personne ne saura jamais si c'est un malheur ou un bienfait hormis Dieu..

    Tu ne jugeras pas sinon tu ne pourras jamais faire un avec le tout. 
    Tu resteras obsédé par des fragments, tu tireras des conclusions à partir de faits infimes

    Inconnu


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  • Trouvé sur bonheurpourtous.com

    Une question d'attitude !

    Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !"

    Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.

    Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ?"

    Et Jerry de répondre : "Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."

    "Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner : "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."

    Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés.

    En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a vite été transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui retirer du corps.

    J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. Et Jerry de dire : "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."

    "T'as pas eu peur ?" lui dis-je. Et lui de répondre : "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."

    "Et alors, qu'as-tu fait ?"

    "Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me Bombardait de questions : elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !"

    Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante ! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

    Maintenant, c'est à vous de choisir :
    1- ou bien vous faites disparaître ce message,
    2- ou bien vous l'acheminez à des gens qui vous sont proches.

    J'ai choisi la deuxième option et j'ose croire que vous en ferez autant.

    Anonyme

     

    Bonheur pour tous Bonheur pour tous

    source : http://www.bonheurpourtous.com/botext/uneqdat.html


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  • Un partage de Gaby

    La carotte, l'oeuf et le café.   


    Vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même façon.

    Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.

    Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.

    Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.

    Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"

    "Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa fille.

    La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

    La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?" 
    Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.

    La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.

    L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.

    Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.

    "Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?"

    Penses-y?

    Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?

    Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur? 
    Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?

    Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.

    Comment faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?
      

     


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  • Trouvé sur

     

     

    Spéciale Saint Valentin : Les plus belles lettres d'amour

     

    Sarah Bernhardt à Edmond Rostand

    1915

    Vous voilà revenu de VOTRE douloureux calvaire, mon bien-aimé poète et je vous sens si douloureusement fatigué que je me permets de vous troubler pour délasser un instant votre pensée. Vous savez la puissance de mon amour pour vous et si je dis le mot amour c’est qu’amitié, tendresse, dévotion ne sont pas l’expression vraie de ce que j’éprouve pour vous.

    Tout enfant j’ai aimé la vierge Marie d’un amour mystique, femme, j’ai aimé et j’aime Maurice d’un amour infini, et je vous aime de ce même amour ; les années qui sont derrière moi, me donnent le droit de vous dire cela. Je vous suis dévouée entièrement. Il n’est pas un jour qui se passe sans qu’un événement fortuit n’évoque votre image.je sens que je suis appelée à vous servir après ma mort ; oui, à vous servir de souffle avertisseur ; oui, et ce souffle que chacun de nous ressent comme une angoisse, un frisson, un indéfinissable rien qui vous avertit que là est un danger matériel, physique ou moral , et cet emploi me sera doux car l’espoir seul d’être cela quand je ne serai plus me donne une émotion joyeuse et reconnaissante.

    Au revoir, ami, à quand ? Dieu seul le sait. Cette catastrophe mondiale arrête la vie. Vous êtes assez jeune heureusement pour être sûr de la VOIR finir, mais moi ? ce qui sera, viendra, mais combien ne le verront pas…

    Je vous serre dans mes bras qui sont comme deux rayons très pâles d’un être qui a vécu.

     source : http://henrylucienmerle.over-blog.com/


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